FAQ Questions les plus fréquemment posées et leurs réponses
Questions liées à la chirurgie digestive
Avant 50 ans, le dépistage du cancer du côlon n’est pas utile à moins qu’il n’y ait dans votre famille des antécédents. Dans ce cas, un dépistage est conseillé à partir de 40 ans.
Du sang dans les selles ne signifie pas automatiquement qu’il y a cancer. Dans la plupart des cas, il s’agit d’hémorroïdes. Cependant, cela demande de toute façon une attention particulière car vous risqueriez de passer à côté d’autre chose. À l’inverse, un test négatif ne veut pas dire qu’il n y a rien. Il faut réitérer le test six mois plus tard.
Ceci est fort variable en fonction du type de cellules néoplasiques, mais le plus souvent entre trois à cinq ans. D’où l’intérêt du dépistage. Le cancer commence le plus souvent par un polype qui a fini par dégénérer en cancer.
Oui, en cas de cancer du bas rectum ou du canal anal qui envahit profondément le sphincter.
Vous pouvez manger normalement. L’absence d’un gros morceau du côlon n’a pas de conséquence importante sur la digestion.
Tout le monde peut avoir un cancer colorectal. Vous êtes plus susceptible de l’avoir si vous avez des cas de cancer dans votre famille proche.
Les causes du cancer du côlon ou du cancer du rectum sont très difficiles à déterminer. À ce jour, la science ne dispose pas de données scientifiques suffisantes pour répondre à cette question. Néanmoins, il est prouvé que la nourriture grasse comme la charcuterie peut entraîner un risque.
Ce trouble fonctionnel du gros intestin se caractérise par une alternance de diarrhée et de constipation. Parfois, il s’accompagne de douleurs abdominales. Cependant, on ne le considère pas comme un facteur de risque en ce qui concerne le cancer colorectal.
L’impact de la chirurgie est diminué car c’est une chirurgie moins mutilante qu’une laparotomie. Les douleurs sont nettement atténuées, la récupération est donc plus rapide et les risques de séquelles sur le système cardio-respiratoire sont également réduits. Le patient voit sa durée d’hospitalisation diminuer. Le jour-même, le patient peut boire et manger. Après un jour, il peut se tenir debout et se déplacer. Accélération du processus grâce à la diminution des sondes et des drains.
Dans le cas d’une chirurgie colorectale effectuée par laparoscopie, l’avantage est que vous n’aurez comme séquelle qu’une très petite cicatrice.
Nous nous efforçons de vous recevoir dans les plus brefs délais, c’est-à-dire en moyenne dans les sept jours.
Questions liées à la chirurgie de l’obésité
Oui. Il vous faudra apprendre à manger lentement en mâchant bien et si cela est possible, dans un environnement serein. Idéalement, il faut éviter les pâtisseries, les charcuteries, les chips, les boissons caloriques et le sucre dans le café ou le thé. Il est absolument recommandé de ne PAS sauter de repas (et surtout pas le petit-déjeuner). Pour éviter de se retrouver le soir le ventre creux, prenez une collation à 10h00 et à 16h00.
Oui. Vous devez être suivi par une diététicienne et exercer une activité physique régulière (après l’opération vous serez moins vite essoufflé) pour maintenir la perte de poids. L’exercice physique ne doit pas nécessairement être intensif. Nos conseils : promenade, escaliers, natation. Petit à petit, vos capacités physiques vont pouvoir augmenter. Notre équipe de médecine physique peut vous aider à vous remettre en route.
Parmi les changements d'apparence, il peut arriver que votre peau n'arrive pas à suivre. Dans ce cas, nous vous proposons de consulter le Docteur Bienfait ou le Docteur Blairvacq qui sont spécialisés dans la chirurgie réparatrice.
Oui.
Selon le type de chirurgie que vous avez subi, votre morphologie, votre état de santé et vos souhaits, vous resterez en moyenne entre deux et trois jours à l’hôpital.
Questions liées à la chirurgie mammaire
Cette crainte n’est pas fondée, tout comme la détection précoce d'une récidive n'est pas perturbée par la reconstruction.
La femme a tendance à ressentir des sentiments de culpabilité, de peur et de honte après une chirurgie liée au cancer du sein. Dans votre traitement du cancer, un suivi psychologique est prévu.